Greco Game Show

Bienvenue à vous !

Le Greco Game Show est un blog exclusivement créer pour les fans de jeux vidéos/de rédactions et les gens de l'école de l'alliance ( pavillons sous bois )

jeudi 30 juin 2011

Un Futur Sujet De Rédaction Pour Greco

Sujet de l'expression écrite :
Une querelle entre deux collégiens dans la cour pendant une récréation. Causes de la dispute. Attitude des camarades. Arrivée d'un surveillant. Ce qu'il dit et ce qu'il fait.
Consignes :
Vous devez racontez au passé , faire au moins 50 lignes mais il faut aussi que ce soit une histoire à peu près vraie.
Dialogues obligatoires ! ( Conversassions MSN aussi )
Personnages :
Grégory - Johana - Benjamin - Jonas - Gabriel - Gad - Aaron - Delphine - Ethan - Léa .

Quelques Citations/Proverbes Pour Vous Distraire

Le meilleur moyen de prendre un train à l'heure, c'est de s'arranger pour rater le précédent.
L'argent aide a supporter la pauvreté.
Pourquoi contredire une femme ? Il est tellement plus simple d'attendre qu'elle change d'avis !
Apprendre a mourir ! Et pourquoi donc ? On y réussit très bien la première fois !
C'est très curieux : ce sont toujours les célibataires qui vous donnent des conseils pour élever des enfants.
Les miroirs feraient bien de réfléchir avant de renvoyer les images.
L'homme n'est pas fait pour travailler. La preuve, c'est que ca le fatigue.
La réussite, pour un homme, c'est d'être parvenu a gagner plus d'argent que sa femme n'a pu en dépenser.
Tous les hommes naissent comédiens, sauf quelques acteurs.

Une Rédaction Sympathique

Ma plus belle rédaction - ( By Grégory )
Aujourd’hui, vendredi 26 février 2020, c’est le grand jour. J’arrive à huit heures et demi du matin, afin d’être sûr de ne pas rater mon vol. L’aéroport, est noir de monde. Il me suffit de tourner la tête pour apercevoir, un homme d'affaire au téléphone, une famille qui s’apprête à passer un merveilleux séjour sous le soleil, des étrangers qui repartent chez eux ayant l’air triste de quitter le sol français, les retrouvailles d’un couple heureux de se voir. Je ne sais plus où donner de la tête. J’avance alors vers le tableau lumineux montrant les heures de vols, le mien est à dix heures. Une voix d’hôtesse annonce un vol prêt pour le décollage vers New York. Je m’assois alors sur le banc qui se trouve sous le panneau lumineux pour attendre l’ouverture de la bagagerie. Pour faire passer le temps, j’observe les personnes, certaines pressées bousculent la foule, d’autres plus tranquille se déplacent d’un pas lent tandis que d’autres sont perdues. Cela m’aura occupé quelques minutes. . . Je me lève vivement et me dirige vers le kiosque à journaux. J’achète alors quelques magazines afin de me distraire un peu. Je reprends ma place, ouvre le magazine et commence la lecture. Plus tard, n’ayant pas vu le temps passé, je lève la tête, l’horloge de l’aéroport affiche neuf heures. En face de moi, ce trouve une longue file d’attente. C’était la bagagerie pour Tahiti qui était ouverte. ENFIN ! J’allai pouvoir me débarrasser des bagages encombrants mes mains. Le temps passe, les gens passent peu à peu. C’est à moi, l’hôtesse, me demande de poser mes bagages sur le tapis roulant. Je peux alors, je me diriger vers la salle d’embarquement. De cette pièce, on peut voir les avions décollés, bientôt ce sera à mon tour de partir d’ici. J’attends encore quelques minutes. Un haut parleur annonce l’embarquement pour le vol en destination de Tahiti. La foule se rut vers le guichet, comme d’habitude je me retrouve parmi les derniers. Je me retrouve face au steward, me demandant mon billet ainsi que ma carte d’identité. Je lui présente alors les deux documents. Il arrache de main ferme la partie du billet qu’il doit conserver, et me souhaite un bon voyage à bord de la compagnie aérienne.
Je me dirige vers le couloir qui relie l’avion et la salle. Je traverse ce grand couloir étroit et sombre. J’arrive devant la porte de l’avion, deux autres hôtesses m’accueillent. Je regarde sur mon ticket pour savoir sur quelle place je vais devoir m’asseoir. J’ai trouvé la place D3 qui m’a été attribuée. Je m’installe confortablement dans le siège. Une hôtesse se place au milieu de l’avion. Pendant que le pilote, explique les actions à réaliser en cas de problèmes, l’hôtesse les montre par des gestes simples. Après ces quelques explications, le pilote nous souhaite la bienvenue, et espère que le voyage se passera bien. Le moment est venu pour nous de décoller. Presque couché, la tête collée au siège, c’est PARTIE ! Une fois l’avion stable, je regarde par le hublot les nuages en pensant que j’aimerai les toucher juste une fois. Les hôtesses passent dans le couloir principal et nous propose quelques boissons rafraichissantes. Je ferme les yeux et m’endors. Mon voisin me donne un coup de coude. Je me réveille en sursaut. Nous sommes arrivés ! Je pose un pied sur la terre tahitienne. Une navette, nous attend, et nous amène vers le guichet d’arrivé. Je vais vers la bagagerie afin de récupérer mes valises. Je la vois au loin, je cours pour aller la chercher.

Je sors de l’aéroport, un vent chaud me caresse le visage. Je prends un taxi qui m’amène jusqu'à l'hôtel dans lequel je vais passer mon séjour. Je jette un regard par la fenêtre et vois toutes sortes de fleurs exotiques. Un grand bâtiment se dresse devant mes yeux, sa décoration extérieure me laisse penser que son intérieur est chic. Je reconnais alors l’entrée qui était dans la brochure dans laquelle j’avais sélectionné mon hôtel quelques mois auparavant. C’était l’hôtel dans lequel j’allais résider. Je sors de la voiture, donne un pourboire au chauffeur, prends mes bagages et me dirige vers le hall d’entrée. Je suis subjugué par la beauté du bâtiment, un énorme lustre pendu au plafond m’accroche de suite le regard. Je vais vers l’accueil, qui donne les clefs de ma chambre au bagagiste, qui m’emmène jusqu’à ma chambre. J’avais pris la suite Royale, une coupe de champagne était posée sur une grande table de marbre. Un lit digne de ce nom, j’ai cru l’espace de quelques secondes que j’étais l’un des plus grands rois. Je sors sur le pas de la porte afin de respirer un peu. Deux tahitiennes accompagnées de musiciens me guident vers la plage de sable fin. L’endroit est calme, le soleil se couche sur l’île. Quand tout à coup, une troupe de danseurs et de musiciens se mettent à danser et jouer de leur instrument. Les danseuses peu vêtues, me donnent en guise de bienvenue un collier de fleur. La fête est géniale, l’accueil est tellement chaleureux.

Aujourd’hui, je me remets de ma journée d’hier qui fut chargée en émotions. Le programme de la journée n’est pas bien compliqué à retenir : piscine, manger, bronzer, dormir. L’après midi, sur le chemin pour aller dans ma suite, je croise un panneau où est inscrit « Nage avec dauphins ». Je vais à la réception en courant, afin d’obtenir une place pour cette après midi. A croire que c’est mon jour de chance, j’obtiens la dernière place. Je vais alors sur la plage pour réaliser l’excursion. Les moniteurs me mettent un gilet de sauvetage (on ne sait jamais). Je mets un pied puis l’autre dans l’eau. Les vagues claquent sur mes mollets. L’eau est chaude, les dauphins sont prêts. Je donne une sardine à Willy (mon dauphin), tout content, il se mit à glapir. Je m’accroche à son aileron, c’est partie. Il va si vite ! Le tour est terminé. Le dauphin réalise quelques figures acrobatiques, c’est tellement impressionnant. Je lui baise le front, et part. Le sable fin colle à mes pieds mouillés. La nuit tombe… Je n’ai plus qu’à manger et ma journée sera achevée.

Le soleil se lève. Je me frotte les yeux, m’étire et pose pieds à terre. Je me lève, fait ma toilette, prends mes valises, les déposes dans le hall d’entrée puis je vais prendre mon petit déjeuner. L’heure est venue pour moi de quitter le sol tahitien. Un taxi vient me chercher, m’emmène à l’aéroport. Je dois quitter Tahiti. Quel regret ! Je monte dans l’avion. On décolle, je vois le sol tahitien s’éloigner peu à peu. C’est reparti pour une vie stressante et banale. L’avion atterrit.

Le voyage fut fantastique, je ne suis pas prêt de l’oublier. Les gens sont vraiment sympathiques. J’ai vécu des choses extraordinaires, qui ne se reproduiront plus jamais pour moi. C’était que du bonheur. J’aimerais tant repartir là bas. . . Un coup de téléphone de mon patron me rappela à la réalité : J’étais déjà en retard.

Un RôlePlay De Minecraft

Un RôlePlay à la Greco
Mon nom est Grecota , quant j'avais 14ans , j'adorais me balader avec mon père Kyozinshy , grand garde du village Pizzouille , il m'apprenais à tuer les monstres avec son épée en diamant mais je détester le faire ! Un jour , je lui demanda pourquoi il n'essayait pas de communiquer avec eux pour faire la paix et vivre ensemble dans un monde ou l'on pourrai jouer , rigoler , s'amuser et s'entraider , après tous ils ont juste une différence physique , rien de grave ! Mon père me répondit d'un ton énervé que les monstres étaient fais pour être tuer et que c'était comme ca ! En fait , je suis sur qu'il n'avait trouvé aucune excuse ! Mais bon, mon rêve était quand même d'un jour pouvoir être amie avec des monstres ! Le lendemain matin, mon père était toujours énervé contre moi et m'envoya faire le tour de la ville avec une vulgaire épée en bois ! De toute façon, que ce soit une épée en bois ou une épée en diamant, je ne tuerai pas de monstres et ca c'était décidé ! Je décida donc d'aller faire un tour dans la forêt , puis après quelques heures , je repris mon chemin vers le village , je n'étais pas fier de moi car j'allais mentir à mon père et faire semblant d'avoir tuer beaucoup de zombies.
Puis, je suis arrivé , le village était dévasté , toutes les maisons étaient en feu , les gens étaient par terre et ne montraient aucun signe de vie ! je courus vers mon chalet et cria de toute ma force PAPA , PAPA , PAPAAAAAAA mais c'était trop tard , à cause de moi tout était finis ! Quand je fus rentré dans mon châlet , il n'y avait personne , je pensais que mon père aurait tuer tous les monstres mais en fait , c'est moi qui devait le faire car à mon avis il devait s'absenter ! Puis je l'aperçus au loin , j'avançai vers lui et m'excusa même si je savais que ca ne suffisait pas car des gens étaient morts !
Quelle sera la suite de cette histoire ? Grecota pourras t-il réaliser son rêve ? Miner avec des creepers inoffensifs .

dimanche 12 juin 2011

[Fic] Minecraft - Chapitre 5 : Surprises

Chapitre 5 : Surprises

Nous entendîmes la porte s'ouvrir. Quelqu'un était rentré. Nous l'observions depuis la cuisine.
"- Je pense que c'est sa maison. Chuchota Herobrine.
- Je crois, oui. On l'attaque ? Demandais-je.
- Pas la peine, il ne nous a pas encore vue... Ne bouge pas... Dit-il."
Le personnage cherchait dans ses coffres. Soudain, il se retourna et alla en direction de sa mine, qui est juste à côté de nous. A son passage devant nous, je ne pus m'empêcher de bouger. Il s'arrêta et demanda si il y avait quelqu'un. J'étais totalement paralysé, et ne bougeais pas. Il vint dans la cuisine dans ma direction. Je sautai alors devant lui, épée en main. La personne fit de même.

Je fis un léger signe à Herobrine pour lui dire de rester caché. Si il sort de sa cachette et que l'habitant le voit, qui sait ce qu'il ferait ?
Nous entamâmes un rude combat. Il sauta d'abord vers moi et voulu me mettre un coup d'épée, que j'esquivai. Je couru loin de la cuisine pour qu'il n'est aucune chance de voir Herobrine.
A mon tour, j'allai vers lui et lui et l'attaquai. Je pus le toucher, mais il mangea du pain. A ma surprise, il sortit un sceau d'eau et le déversa dans sa maison. Je fus emporté par le courant, et lui fonça à toute vitesse vers moi. Il m'attaqua à deux reprises, j'étais à terre. Il s’apprêta à me mettre le troisième, quand Herobrine surgit et me sauva la vie en le tuant. Je le remercia et nous décidâmes d'aller dans la mine trouvé du diamant pour miner de l'obsidian.

Avant d'aller dans la mine je suggérai à Herobrine de jeter un coup d’œil dans ses coffres. Effectivement, j'avais raison. Il y avait, en outre, 3 diamants ainsi que de 2 blocs d'obsidian.
Nous entamions le chemin pour aller au plus profond de la mine. Nous prenions des galeries. Soudain, Herobrine me dit de ne plus bouger. Nous entendîmes des petits "tac tac". Mon ami n'avait aucune idée de ce que c'était, moi non plus d'ailleurs. J'allai en direction de ce bruit et ce que je trouvai était incroyable. Des petites boules vertes, de différentes tailles étaient devant nous.
"- Ça y est je me rappelle ! Ce sont des Slimes ! Et c'est très chiant ! Dit Herobrine.
- Je me rappelle avoir vu un chapitre dans un des livres la dessus, mais je l'ai sauté. Répondais-je.
- Tu vois, là, ils sont dans une galerie, et ils nous empêchent de passer. Les petits n'attaquent pas, les grands oui. Dit-il."

Je pris mes poings et les attaquai. Mais je n'arrivais pas. Mes mains s'enfoncèrent dans cette masse visqueuse verte. Herobrine prit son épée et les tua. Je sortis mon épée à mon tour, et tua ceux qui restaient. Soudain, je vis une énorme boule verte qui faisait deux fois ma taille. Je l'attaquai mais il m'attaqua aussi en me chargeant. Je pris mon épée et fonça dessus, mais il se divisa en plus petites boules, que je déchirai.
"- Je crois qu'il n'en reste plus. Dis-je."

Nous nous enfonçâmes encore dans la grotte, et nous trouvâmes une caverne inexploré. Au fond de celle-ci, nous pouvions voir de la lumière.
"- Est-ce que tu vois ce que je vois ? Demandai-je.
- Oui c'est...
- De la lave !"

mardi 7 juin 2011

[Fic] Minecraft - Chapitre 4 : Cache-Cache

J'attendais au moins 4 jours dans la maison de mon ami. Je finissais pas croire qu'il était réellement mort. Mais un matin, alors que le soleil se levait, je vis quelqu'un dans le jardin. Je m'empressais de courir vers lui, et j’aperçus ces yeux blancs. Quel joie ! Quel bonheur ! Je n'étais plus seul !

"- Enfin tu es revenu ! Raconte moi ce qui c'est passé ! Pourquoi t'as mis autant de temps ? Lui dis-je.
- J'ai une mauvaise nouvelle, Greg... Alors que le Creeper avait explosé, je fus projeté contre une roche. Ma vue devint rouge, et je ne vis plus rien. Je me réveilla à mon endroit de départ, et alors que je voulais retrouver ma maison, je vis une sculpture, ou plutôt des blocs qui étaient posé au sol. Sachant que cela ne venait pas de moi, toutes les possibilités passèrent dans ma tête. Pendant que je marchais, je vis une personne. Je pensais que c'était toi, Mike ! Mais il n'était pas seul, je dirais qu'ils étaient une dizaine en tout. En me voyant, ils se regardèrent comme si j'étais spécial. J'entendis l'un d'eux dire que j'avais des yeux bizarre. Bon nombres d'entre eux prirent une épée et voulurent me tuer. Je m'enfuyais et parvint à les semer. J'étais dans une petite grotte, et je les entendais aux alentours. Au bout d'un moment, je ne les entendis plus, je sortis donc et revint à ma maison... Greg, à partir de maintenant, il faut nous cacher ! Ces personnes veulent nous tuer !"

Aussitôt qu'il dit cela, une masse de gens s’amassaient le long de la muraille et grimpaient. "A bas Herobrine !" Disaient-ils. Nous nous regardâmes, et sans se poser de questions, nous empruntâmes un chemin secret que je ne connaissais même pas. Mais ces assassins nous suivaient toujours. Nous essayions tant bien que mal de les ralentir en posant des blocs, mais ils étaient toujours là. Le chemin se sépara en 3. Nous partîmes à droite, et la foule de gens se séparèrent. Environ cinq personnes nous suivaient toujours.

Herobrine sortit un sceau de lave et le déversa sur la route. Les personnes étaient maintenant bloqué. Le chemin se finis enfin et étions à l'extérieur. Une petite maison incrusté dans une grotte était très loin. Nous nous y réfugiâmes alors, sans savoir à qui elle était. Elle était très spacieuse, avec une mine et différentes pièces. Nous nous y installâmes donc, et notre objectif était de faire cette fameuse porte pouvant nous ramener à la vie réel.

Je lui raconta également mon histoire de ma maison brûlé. Il me répondit que ce n'était pas étonnant, car ces personnes-là sont des barbares. Alors que nous discutions de ça, nous entendîmes au loin des explosions venant de l'ancienne maison d'Herobrine. Il fut très triste, et je le compris, cette maison était fabuleuse et m'avait sauvé la vie.

Soudain, nous entendîmes la porte d'ouvrir. Quelqu'un était rentré.